domingo, 5 de febrero de 2012

La mort d'un jeune Cubain

                 

Il ya quelques semaines, dans un forum de discussion virtuel, un ancien camarade a écrit en réponse aux allégations d'une incisive, un débatteur énergique et des commentaires clairs:

    
"Je pense que l'on peut bien sympathiser avec les personnes, surtout quand ils sont victimes de certaines pratiques (...) Je pense que toute la solidarité que nous pratiquons a beaucoup à voir avec savoir comment mettre l'idéologie de côté (dans la mesure où il possible) ... (...) à la suite de la solidarité (...) Et plus que l'idéologie, jouent un rôle important dans la pratique de la solidarité: solidarité avec quelqu'un de bien, je ne peux pas penser comme moi, mais je peux difficilement exprimer ma solidarité avec quelqu'un qui pense comme moi, mais fait des choses pour moi inacceptable. " Si cette citation est sauvé maintenant d'écrire le poste le plus mal à l'aise de mon expérience en tant que chroniqueur numérique.
Parfois, la conscience - situé par catégoriques impératifs laisse-peu d'options et c'est l'un de ces cas. Mort à Santiago de Cuba le jeune Wilman Villar Mendoza, après près de deux mois sur grève de la faim met à quiconque de choisir de regarder ailleurs - permettant la répétition de ces faits, ou élever la voix contre l'incompatibilité des eux-mêmes avec le sens le plus élémentaire de l'humanité.
Situation à Cuba est aggravé quand on voit que ceux qui souffrent le plus rebelle, et ils contre le statu quo, ou qui se soumettent en silence les nombreuses formes de protestation et de résistance sont quotidiennes des Noirs, des femmes et des personnes pauvres dans les zones rurales ou dans des taudis, à laquelle les sanbenitos de petit bourgeois ou de mercenaires de l'empire, dirigé par le discours officiel, ne semblent pas toujours aller mieux.
Wilman grève n'était pas une offensive acte, le gouvernement a exigé des concessions qui peuvent être considérées comme disproportionnées ou inacceptable. Il n'a pas demandé de changer le régime politique et exigé la démission de ses principaux dirigeants: seulement demandé la rectification d'une arrestation, selon plusieurs témoignages, avait des accents de l'anarchie et des représailles politiques.
Il était donc un acte de légitime parfaitement compatible même avec une raison bien exercé de l'Etat. Parce que sur les états peser le mandat légal, politique et morale d'assurer la sécurité de leurs prisonniers, et quand ils ne méritent pas la condamnation que la communauté internationale dispensé à Margaret Thatcher et George Bush de laisser mourir, sans distinction de prisonniers irlandais ou les combattants afghans.
Près de deux ans - et dans des circonstances similaires, Orlando Zapata est mort, a ensuite écrit un article mettant en cause l'interprétation de assassiner que certains ont donné l'inaction du gouvernement cubain qui a accompagné l'issue fatale.
J'ai fait valoir que les complications découlant du fait que La Havane avait quelque chose (pour plus de réalisme politique élémentaire) aurait aimé être évitée et que, même lorsque le traitement était attaquant n'était pas répréhensible acte conscient et délibérée des autorités.
Aussi rangé, comme aujourd'hui hagolas campagnes lâches qui cherchent à réduire la stature morale de la personne décédée, le présentant comme un criminel de droit commun ou mentalement retardés.
Cependant, à cette occasion, la mort de Wilman a toutes les marques d'une «chronique d'une mort annoncée», où l'arrogance du gouvernement est directement responsable de la-issue fatale. Cette fois, il y avait aussi suffisamment de temps pour rectifier le cours fatal des événements.
Au cours de ces semaines, ils répondu aux demandes répétées pour protéger leur santé, ce qui libère le jeune, ou à le transférer à l'hôpital. Lorsque le second a fait - et mélangées comme la première option, c'était la fin et le prisonnier avait pas de salut.
Quant à l'autre cause propre décision de la défenderesse, bien que pas aussi méthode du partage des contrôle pointu, comprendre que votre choix est le résultat de l'incapacité de revendiquer des droits dans un environnement de l'arbitraire institutionnalisé et du citoyen de la négligence. Et puisque personne ne menace leurs vies à moins que leurs convictions sont claires et fermes, pas le choix, mais d'offrir mon respect à quelqu'un dont les principes ont amené à mourir pour ce qu'il croyait, même si leur idéologie ne coïncide pas avec ma propre vision de souhaitée pays.
Des préoccupations ont été exprimées que le défunt était un prisonnier de droit commun et avait eu un comportement violent, qui avait été attiré l'attention des autorités. Il est également noté que la mère, sœur et sa mère sont parties défunt des agents du gouvernement dissidents qui se sont engagés à le mystère de l'Intérieur et eu des conflits avec Wilmer pour ses positions politiques.
Plus, même si nous supposons que vrai que les arguments ci-dessus, je pense que les ombres de la vie de toute personne ne devrait pas suffire à délivrer un procès public et sans appel surtout quand ce qui précède ne peut pas se défendre.
Dans un pays où l'anarchie est commune et répandue et où les chroniques de nos luttes passées parler de la coexistence de misères quotidiennes et les actes sublimes - caractéristique de l'âme humaine dans la campagne la vie, il est utile de rappeler ces versets de Silvio Rodriguez quand il dit: «en tenant compte de l'implacable doit être la vérité, je vous demanderais-moi, si un besoin urgent, ce qui devrais-je dire, pourquoi devrais-je respecter les frontières. Si quelqu'un vole de la nourriture, puis donne la vie quoi faire? "
Pour tout cela, comme je l'ai dit à un ami ce matin, il ya des moments quand on simplement muette horreur à l'inattendu, quand l'espoir disparaît et la créativité entre en dormance.
Après des semaines de fructueux échanges et la promotion de vues de gauche et des propositions que les options nécessaires contre la réforme / crise de la sensation ordre existant qui est maintenant le temps de momentanément élevé.
Non pas parce que dicte la raison, mais parce que, simplement, parfois vous perdez votre sens la philosophie et la poésie devient un luxe inaccessible par rapport à la fragilité de la vie humaine et de l'impunité obscène du despotisme.


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